Pain is something no one want to know, but everyone know...

Crimson King

ID
Card .

Pain is something no one want to know, but everyone know... Jintokunou

Nom : Jinto
Prénom : Kunou
Pseudo : Crimson King - Black Cat
Age : 22 ans
Sexe : M
Taille : 1m84
Poids : 72kg
Origine : Tokyo

Stormrider
Register .

Road :
Ruby Road : Gaia x Fire
D'un point de vue psychologique, ceux qui l'utilise ont un état d'esprit très protecteur, envers eux même et ceux qu'ils aiment, néanmoins, ils seront sans pitiés envers ceux qui menacent eux ou les personnes qui leurs son chères de quelques manière que se soit, déchainant alors la force de la terre combinée à la fureur des flammes sur celui qui a déclenché leur colère. Leur but n'est pas de faire étalage de leur puissance pour écraser les autres, mais dans le but de se battre à la place de ceux qu'ils aiment, afin qu'ils ne puissent se faire blesser ou tuer, prenant sur eux tout ce qui les menace, afin que ces derniers soient en paix.
Niveau combat, cette road semble au premier abord uniquement capable d'utiliser la terre et les flammes séparément, néanmoins, ses utilisateurs font souvent de cette capacité une force en combinant les attaques de chacune des road avec maestria, finissant par obtenir des résultats "brûlant" si l'on puis dire, utilisant par exemple d'abord le feu pour enflammer le sol avant d'utiliser la terre pour en faire des dizaines de projectiles enflammés. Néanmoins l'utilisation simultanée de ses deux éléments peut permettre de chauffer énormément le sol et la roche afin de transformer la moindre petite pierre en un véritable projectile incandescent dont la chaleur est telle qu'il pourrait facilement enflammé n'importe quel tissu ou bruler la chair au contact... Néanmoins, malgré les exemples que je dit, cette road n'est pas en reste au corps à corps de part son ascendant de la terre, qui augmente les capacités physique, et surtout la force de ses utilisateurs, tandis que les flammes augmentent sa vitesse...
Ambition : Vivre.

The Rider
Psyche .

« Je ne pense pas être la meilleure personne pour parler de moi… et de toute façon je n’aime pas ça. »

Que dire de Jinto ? Ce garçon est un peu comme tout les autres dans les grandes lignes : il a ses rêves, ses réalités, ses désirs, ses peurs, ses cauchemars et tout ce qui fait de lui une personne bien comme les autres, tout en étant à la fois bien unique, comme les passions de chacune des personnes de cette Terre.

Personne typique, de manière générale, il n’est pas une personne qui se met – du moins volontairement – en avant des autres, et quand cela arrive, ce n’est pas une sensation qu’il préfère par-dessus tout. Rester parmi les fausses ombres du jour, et ne jamais en sortir : si il le pouvait, il le ferait. Cependant, il est des choses pour lesquelles il se met en avant malgré le peu d’envie que cela lui cause : pour ses idéaux essentiellement, mais cela peut aussi être pour protéger quelqu’un qui lui est cher…

En effet, cela est une caractéristique fondamentale du comportement de cet homme : si il se trouve en effet être une personne d’une nature plutôt introvertie et renfermée, le monde est selon lui concentré dans les personnes qu’il apprécie et auxquelles il tient par-dessus tout, le reste n’étant bon qu’à le remplir un peu plus ou un peu moins : rien de bien important en somme. Et si pour les premiers il soulèverait des montagnes ou traverserait des océans, pour les second, il n’éprouve qu’une indifférence voilée sous un sourire.

En effet, appelez ça un tic, un toc, un mensonge perpétuelle ou le rire jaune, il est très rare de voir cette personne s’ouvrir à vous de quelque façon que ce soit, cachant ses pensée maussades sous un sourire ou derrière une blague déplacée, quand à le faire parler de lui ou de ce qu’il ressent ou pense, accrochez vous, car on parle là d’un véritable parcours du combattant avec une opération commando à la clef : il parle aussi souvent de lui qu’un arbre n’évoque à autrui la consistance des crottes d’écureuils, en d’autre termes : presque jamais sauf avec ses plus proches amis.

D’un humour pouvant être parfois désopilant, parfois sombre, cynique ou gras, voir carrément nul à ses heures, cet homme à la manie de plaisanter en se prenant pour un chat, aussi ne vous étonnez pas à l’entendre miauler quand vous direz une connerie – ou quelque chose qu’il jugera comme – cela voudra juste dire, le plus souvent, qu’il ne vous prend pas du tout au sérieux. Après, cela peut avoir bien d’autres signification, mais il ne le fait jamais lorsqu’il est sérieux, dans ce cas précis, il est tout à ce qu’il fait, plus de place au chat, et peut devenir réellement celui que l’on surnomme le Black Cat, et apporter le malheur, ou tout simplement être une personne sérieuse comme les autres.

Mais son sérieux est tout a fait relatif : devenant alors si l’on puis dire comme toute autre personne : le visage grave et la mine sévère, les raisons, elles, sont on ne peut plus précises. Cela peut être quand on parle de quelque chose qui lui tient à cœur, ou dont il aime discuter et débattre comme les air treks, la gastronomie (oui, monsieur est un gourmet – et légèrement gourmand), ou bien du parti dictatorial impérialiste et répressioniste des manchots, même si là on part dans un franc délire de sa part et sans commune mesure avec tout ce qui fut possible de voir par le passé, preuve de son intérêt pour la politique. Néanmoins, il le devient tout particulièrement si l’on s’attaque physiquement à une personne à qui il tient. Et tenter de le retenir relève alors de la pure folie ou du suicide.

Son rêve est en effet en parfait contraste avec sa personne, d’une simplicité des plus absolue. Tout ce qu’il demande est de vivre heureux avec ses amis sans que personne ne vienne semer la graine de la discorde en leur sein, ou s’attaquer a leur intégrité. Cependant, les rêves les plus simples sont souvent les plus dur à réaliser, et c’est sans doute pour cela que le siens ne se réalisera jamais : la méchanceté naturelle des hommes et le plaisir qu’ils éprouvent à détruire les mettra toujours sur son chemin afin de tenter de pulvériser le lien qui l’unit à ses proches.

Et là est sa plus grande peur : que quelqu’un brise tout ce qu’il à put construire avec quelqu’un, que ce soit physiquement ou moralement, comme c’est déjà arrivé par le passé. Par la suite vienne des peurs plus commune comme celle d’être rejeté, de ne pas pouvoir faire quelque chose qui lui tient à cœur, voir d’échouer. Cependant, une peur qui est absente de sa personne est bien la peur d’être lui-même blessée ou même de mourir, cependant, ce n’est pas de même pour les personnes auxquelles il tient, le poussant parfois à foncer aveuglément devant lui sans tenir compte des règles de bon sens les plus élémentaires si un de ses amis se trouve menacé d’être tuer ou seulement blesser.

Mais par delà ces peur se trouve souvent le courage, ou la folie, de défier ses peurs. Mais comme l’eut dit un grand homme par le passé, être courageux, c’est avoir peur mais avec quelques secondes de retard. Il ne montre pas ses peurs : en a-t-il honte ? Certainement pas, juste qu’il a eut un passé qui lui a fait considérer le fait que montrer ses faiblesse n’avait jamais été une bonne idée, et donc que montrer ses peurs n’était qu’une chose nuisible et qu’il ne fallait par alors se confier qu’aux personnes envers lesquelles on avait une confiance absolue…

Cela résulte entre autre du nombre de remords qui le rentre. Si son amnésie lui empêche de se souvenir de la majorité de sa vie, le passé dont il se souvient depuis qu’il se trouve dans le « monde extérieur » n’est pas le plus joyeux qu’il soit, et il se sent personnellement responsable de certains des évènements qui se sont déroulée, se demandant parfois si les choses se seraient passée différemment si il avait agit autrement, si il avait été plus fort, voir si il n’avait pas existé… Mais à ce genre de question, jamais il n’aura de réponse.

De nature, il est alors généralement une personne joviale et enjouée, mais un sourire peut cacher tout un monde, et cela il en est l’une des plus parfaite représentation, les remords du passé hantant son esprit plus que le reste.

The Rider
Physical appearance .

« Mraow ? »

Comment décrire cet homme, à la fois si exposé aux aléas de l’histoires et si décalé des autres par son attitude et son manque de conversation « sérieuse » ? Je pense que le mieux serait en effet de commencer par le décrire physiquement.

Tout d’abord, l’une des premières choses qui apparait comme évidente et qui attire sans conteste le regard chez cet individus atypique est sans conteste ses yeux. D’une profondeur rare chez un être humain, ces derniers reflètent toute la joie et une once d’innocence déguisée qui ne laisse que rarement indifférents. Leurs couleur noisette-or est relativement troublante et laisse présagée d’une vérité à son sujet, celle que cette couleur n’est pas naturelle et qu’il porte sans le moindre doute en constance des lentilles de contact. Quand à ses vrais yeux… nous y reviendrons plus tard.

Son visage est assez fin et reflète une certaine jeunesse dans son ensemble, ne brillant pas d’une beauté surnaturelle sans pour autant en être laid, il se trouve plutôt dans le « triste commun » des mortels de ce cotés là. Peut-être est-ce une des raisons pour lesquels il semble si différent, parce qu’il à l’air si commun… Quoi qu’il en soit, son visage est à la fois simple et reflet de ses pensée. Surmonté de cheveux brun relativement long, coiffé tel un hérisson, ce dernier ne cherche pas vraiment à se différencier des autres par son style assez « mauvais garçon », mais, de son propre aveux, il se coiffe et s’habille juste comme il en a envie.

D’ailleurs, niveau tenue, cette dernière se compose généralement d’une veste en cuir souple aux rebords en fourrure – synthétique, bien sur : Brigitte Bardot peut rester tranquille sur ce point – avec un jean, le tout de couleur noir tandis que l’on peut entrapercevoir un tee-shirt blanc en deçà de ces vêtements couvrant la majeure partie de son corps et de son torse. Cette tenue, ou ce genre de tenue est habituelle avec lui, que ce soit dans le monde de la nuit lorsqu’il ride sur les toits de Kyoto ou en plein jour dans ses ruelles, même si il arrive que cette dernière puisse changer plus ou moins subtilement en fonction, toujours, de ses envies et de son humeur du moment.

Sous son tee-shirt, parfois visible, parfois non, se trouve un étrange tatouage, situé précisément sous sa clavicule gauche. Tatouage simple si il en est, les plus superstitieux d’entre vous pourront toujours y trouver une signification, plus souvent mauvaise que bonne. Il s’agit là en effet d’un tatouage représentant le chiffre 13 en chiffre romain (XIII pour les incultes), chiffre représentant le malheur pour les plus sujets aux rumeurs et aux sectes en tout genre, que ça soit la scientologie ou le christianisme depuis que, il y aurait eu 2.000 années de cela, lors du repas du christ précédent sa trahison et sa crucifixion, le nombre de personne à sa table fut de 13. Quoi qu’il en soit, depuis il s’amuse toujours à jouer de cela en disant à ses opposants qu’il leur apportera la mal chance, comme si ils avaient croisé un chat noir…

Dans l’ensemble, son corps est par ailleurs plutôt musclé sans être proéminant : n’étant pas d’une taille des plus imposante, il ne s’agit pas là du corps d’une personne voulant jouer les basketteurs ou les haltérophiles. Ressemblant d’avantage aux canons athéniens qu’aux catcheurs bodybuildé allaités aux anabolisants, ce dernier dispose en effet d’une musculature relativement fine et discrète tout en étant assez puissante. Le plus souvent peu de monde se doute de cela, ses vêtements relativement ample cachant bien son jeu.

Pour ce qui est des performances, Jinto est une personne que la nature n’a pas mise en reste puisque son corps relativement bien constitué sans la moindre anomalie se trouve être relativement léger et agile, outre le fait qu’il soit totalement ambidextre, faisant de lui un rider taillé pour la vitesse avec une facilité déconcertante pour la maitrise des rides en tout genre et de toutes sortes. Pour un peu, certains croiraient sans difficulté que ce gosse est née avec des Air Trecks aux pieds…

Ce qui n’est pas tout à fait faux… Sans en être vrai.

The Rider
Story .

« L’histoire n’est pas utile à raconter froide, il faut la vivre pour la comprendre pleinement… »

Que dire du passé de Jinto ? Il ne s’en souvient pour ainsi dire pas de la moitié ni du quart. Peut être a-t-il une famille et des amis, ou disons plutôt : peut-être que des gens le considère comme un ami ou un membre de leurs famille, mais pour lui ils ne sont rien, rien depuis qu’il est devenu un Brain Charger… Car comme tous les siens, il en est devenu amnésique.

Son histoire à commencer il y à sept ans dans ses souvenir, une histoire de coup de cœur, de coup de sang et de tout un tas d’autres choses qui font de la vie ce qu’elle est : à la fois terriblement vide et remplie. Mais dans son cas : extrêmement courte. Mais le plus surprenant est sans doute la première chose dont se souvient le jeune homme : des lumières de partout, des murs blanc et un endroit enfermé sur lui-même dans lequel il n’y avait aucune échappatoire…

Les années ont passées pour vérifier la stabilité d’un des premiers résultats concluants du projet « Brain Charger », les tests et résultats s’alliant les uns aux autres à la suite de ce du premier prototype fonctionnel, Rindo, auquel ses résultats étaient comparés. Il ne pourrait pas vous dire si ses résultats étaient meilleurs ou moins bon que ce du projet d’origine, mais il savait une chose : il n’en avais et n’en à toujours rien à foutre. Après tout, il n’y à rien de comparable à l’expérience de voler dans le ciel, et c’est impossible dans une cage de béton.

Il ne saurait dire combien de temps s’écoula avant que ses « concepteurs » ne se décident à le lâcher dans la nature. Encore que le terme reste faible, la réalité étant plus proche de « lâché aux grès des vents avec sa paire d’Air Trecks et 5.000 Yens », ou, comme d’autres diraient « abandonné ». Dites la chose comme il vous plaira, le résultat fut le même et ne fut pas forcément facile pour un garçon de son âge de vivre vite presque sans argent, uniquement en revendant des pièces de Parts gagnée durant diverses Parts Wars et autres moyen du même genre, tout en restant toujours fidèle à son crédo intérieur, du moins ce fut le cas jusqu’à ce qu’il la rencontre, elle…

Tenshi Kasumi…

Une fille, une rideuse comme pas deux : à la fois forte et douce, elle tenait une team de haut rang dont le but n’avais jamais été autre que de s’amuser et de prendre du plaisir à Rider. Approximativement, elle était de rang S et le LEAD indiquait un score dépassant la centaine de points, ce qui était plus qu’impressionnant pour une jeune femme, même si elle n’était actuellement pas en mesure de défier seule Junto. Mais elle n’était pas seule, elle avait sa team derrière elle : Sasori, une team partageant ses objectifs et ses convictions représenté par un symbole à la queue de scorpions…

Il fallait dire aussi que le chat noir avait foutu pas mal de bordel à sa sortie de cage, et que pour survivre il avait « réduit » pas mal d’espoir à l’état de cendres, au sens propre comme au figuré, et Kyoto n’était pas une ville assez grande pour que ce genre de chose ne s’apprenne pas rapidement dans le monde de la nuit. Autant dire que cette petite équipe de casse-cou de haut niveau était venu le remettre à sa place, et que même si le Brain Charger était doué voir même très doué, il n’avait eu aucune chance dans un ballon à un contre cinq. La défaite fut rude pour ce dernier, et l’enjeu n’était pas des moindre puisqu’il aurait dut remettre ses Air Trecks à la jeune fille…

Cependant, il n’en fut pas ainsi, non pas que Junto refusa de les lui donné : il avait perdu et il pensait devoir en assumer les conséquence, mais disons plutôt que la jeune fille lui proposa d’arrêter de « faire l’idiot à casser des têtes » et lui proposa de la rejoindre dans sa team… En fait, ce ne fut pas que dans sa team puisque cette dernière, apprenant la situation dirions nous précaire du jeune garçon, alla même jusqu’à lui confier un toit : son toit. C’était à vrai dire une offre que le chat noir ne pouvait pas refuser…

Autant dire qu’à rester ensemble de manière quasi-constante, les deux riders devinrent rapidement très proches l’un de l’autre, et se considéraient même mutuellement comme frère et sœur, si ce n’est plus, mais ça : aucun des deux n’a jamais osé le dire à l’autre (si ce fut le cas)… Que dire d’autre ? Que durant cette époque il devint aussi assez ami avec les autres membres de Sasori ? Et qu’il fit beaucoup moins de bordel durant ce temps là ?

Cependant, la vie vous apprend bien vite que pour chaque petit morceau de bonheur récolté, c’est une véritable avalanche de malheur qui menaçait de vous retomber sur le coin de la gueule…

A FINIR